Ile de Lewis et Harris
Deux noms pour une seule île avec cependant des caractéristiques très différentes entre les deux parties de l’île.
Au nord Lewis, vaste plaine de tourbières, constellée d’un nombre infini de lochs de tailles variées, bref une énorme éponge ! Au Sud Harris, au relief plus marqué, avec des plages de toute beauté, dignes des tropiques (palmiers et degrés en moins).
Partout le vent, qui ici plus qu’ailleurs souffle fort, très fort, nous arrivant directement depuis les côtes canadiennes ou des régions polaires. Il nous aura valu quelques belles embardées à moto et eu raison de l’arceau de la tente. Ici la pluie tombe plus souvent horizontalement que verticalement parce que oui, il y pleut aussi, disons assez souvent. Mais dès qu’une éclaircie se pointe c’est la récompense assurée tant les lumières sont magiques. Heureusement, nous avions débusqué un petit camping avec un salon cuisine pour nous sécher: le camping de Shawbost
Lewis & Harris c’est enfin, et surtout, une ambiance. Difficile à définir en réalité tant elle repose sur des éléments à priori contraires. Entre austérité et lumière, entre violence des éléments et beauté inouïe des paysages, entre rudesse et douceur, entre repli sur soi (nous sommes sur une île ne l’oublions pas) et plaisir d’accueillir… Bref, ici plus qu’ailleurs, vous êtes ailleurs ! Soit vous adorez (ce fut notre cas) soit vous repartez avec le premier bateau.
Nous avions découvert Lewis & Harris bien avant d’y mettre les pieds grâce à Peter May, romancier écossais naturalisé français, à qui nous devons la trilogie romanesque : L’île des chasseurs d’oiseaux (2009), L’homme de Lewis (2011) et Le braconnier du lac perdu (2012) dont le décors se situe sur Lewis & Harris. Un très bon moyen d’approcher cette ambiance si particulière.
Au nord Lewis, vaste plaine de tourbières, constellée d’un nombre infini de lochs de tailles variées, bref une énorme éponge ! Au Sud Harris, au relief plus marqué, avec des plages de toute beauté, dignes des tropiques (palmiers et degrés en moins).
Partout le vent, qui ici plus qu’ailleurs souffle fort, très fort, nous arrivant directement depuis les côtes canadiennes ou des régions polaires. Il nous aura valu quelques belles embardées à moto et eu raison de l’arceau de la tente. Ici la pluie tombe plus souvent horizontalement que verticalement parce que oui, il y pleut aussi, disons assez souvent. Mais dès qu’une éclaircie se pointe c’est la récompense assurée tant les lumières sont magiques. Heureusement, nous avions débusqué un petit camping avec un salon cuisine pour nous sécher: le camping de Shawbost
Lewis & Harris c’est enfin, et surtout, une ambiance. Difficile à définir en réalité tant elle repose sur des éléments à priori contraires. Entre austérité et lumière, entre violence des éléments et beauté inouïe des paysages, entre rudesse et douceur, entre repli sur soi (nous sommes sur une île ne l’oublions pas) et plaisir d’accueillir… Bref, ici plus qu’ailleurs, vous êtes ailleurs ! Soit vous adorez (ce fut notre cas) soit vous repartez avec le premier bateau.
Nous avions découvert Lewis & Harris bien avant d’y mettre les pieds grâce à Peter May, romancier écossais naturalisé français, à qui nous devons la trilogie romanesque : L’île des chasseurs d’oiseaux (2009), L’homme de Lewis (2011) et Le braconnier du lac perdu (2012) dont le décors se situe sur Lewis & Harris. Un très bon moyen d’approcher cette ambiance si particulière.
Au Nord, Lewis. Attention, ça souffle !
Au Sud, Harris. Des lumières magiques même par mauvais temps.
Embarquement immédiat pour l'île de Skye...
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